L’idéal artistique Américain à Paris
Entretien avec Linda Jarvin, Paris College of Art

Propos recueillis
LAN Xun
Traduction
Marion DAL BELLO
LAN Xun
Traduction
Marion DAL BELLO

Prestigieuse capitale artistique, la ville de Paris s’avère souvent être à l’image de l’idée qu’on s’en fait. L’évocation de son nom suffit parfois à éveiller l’inspiration, la fascination. Porteuse des rêves artistiques de chacun, Paris est devenue la destination favorite de nombreux étudiants. Dans les écoles d’art parisiennes, créer consiste à emprunter le long chemin vers le panthéon des artistes. En plus de la célèbre Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts et des grandes écoles de design, la ville de Paris compte dans ses murs une école d’art américaine permettant à un nombre grandissant d’étudiants, par le biais d’un enseignement unique et diversifié, de réaliser leur rêve d’artiste.
Située rue Fénelon dans le 10ème arrondissement de Paris, Paris College of Ar t est d’abord née d’un programme d’apprentissage du design et des techniques artistiques lancé par la Parsons School of Design. Depuis, l’Ecole a gagné en importance et s’est développée au point de devenir un établissement entièrement indépendant ayant donné naissance à des talents de la création dans de nombreux domaines : arts plastiques, design, photographie, mode, architecture d’intérieur… Nourrie de l’influence de l’art parisien et forte de méthodes d’enseignement à l’américaine, Paris College of Art a mis en pratique une approche de transmission des savoirs artistiques unique au monde. Si son système scolaire s’apparente au système américain, les diplômes décernés aux étudiants sont reconnus à la fois aux Etats-Unis et sur l’ensemble du continent européen. Il en va de même pour les crédits validés au sein de l’Ecole, reconnus sous certaines conditions par la majorité des universités Européennes.
En cette nouvelle année, Art Vision Monde s’est rendu sur le campus de Paris College of Art pour un entretien avec sa Directrice, Madame Linda Jarvin, qui a accepté de nous livrer les secrets de son école en répondant à nos questions sur « l’art d’enseigner l’art. »
AVM : En tant qu’école d’art américaine implantée Paris, quel est selon vous le rôle de Paris College of Art ?
Linda Jar vin : Notre rôle est de por ter plus loin le système d’enseignement supérieur américain, d’en ouvrir l’accès à un plus grand nombre de personnes. Je pense sincèrement que le système d’enseignement supérieur américain présente cer tains avantages, notamment au niveau du premier cycle. Les premières années d’enseignement supérieur aux Etats-Unis sont extrêmement complètes. Si par exemple vous choisissez de vous inscrire à un cursus de photographie, l’école y associera des cours de Sciences Sociales, de Sciences Humaines et de Langues Etrangères. Un autre rôle important de Paris College of Art consiste à apporter aux étudiants toute la richesse des enseignements artistiques français. C’est la raison pour laquelle nous enseignons également des formes d’expressions artistiques de tradition française telles que la mode, la haute couture ou la bande dessinée. Celles-ci permettent aux étudiants de faire eux-mêmes l’expérience de ce qu’est véritablement l’Art à Paris. Si Paris College of Art a vu le jour dans une ville comme la capitale française, c’est en particulier à cause de ces deux rôles.
Située rue Fénelon dans le 10ème arrondissement de Paris, Paris College of Ar t est d’abord née d’un programme d’apprentissage du design et des techniques artistiques lancé par la Parsons School of Design. Depuis, l’Ecole a gagné en importance et s’est développée au point de devenir un établissement entièrement indépendant ayant donné naissance à des talents de la création dans de nombreux domaines : arts plastiques, design, photographie, mode, architecture d’intérieur… Nourrie de l’influence de l’art parisien et forte de méthodes d’enseignement à l’américaine, Paris College of Art a mis en pratique une approche de transmission des savoirs artistiques unique au monde. Si son système scolaire s’apparente au système américain, les diplômes décernés aux étudiants sont reconnus à la fois aux Etats-Unis et sur l’ensemble du continent européen. Il en va de même pour les crédits validés au sein de l’Ecole, reconnus sous certaines conditions par la majorité des universités Européennes.
En cette nouvelle année, Art Vision Monde s’est rendu sur le campus de Paris College of Art pour un entretien avec sa Directrice, Madame Linda Jarvin, qui a accepté de nous livrer les secrets de son école en répondant à nos questions sur « l’art d’enseigner l’art. »
AVM : En tant qu’école d’art américaine implantée Paris, quel est selon vous le rôle de Paris College of Art ?
Linda Jar vin : Notre rôle est de por ter plus loin le système d’enseignement supérieur américain, d’en ouvrir l’accès à un plus grand nombre de personnes. Je pense sincèrement que le système d’enseignement supérieur américain présente cer tains avantages, notamment au niveau du premier cycle. Les premières années d’enseignement supérieur aux Etats-Unis sont extrêmement complètes. Si par exemple vous choisissez de vous inscrire à un cursus de photographie, l’école y associera des cours de Sciences Sociales, de Sciences Humaines et de Langues Etrangères. Un autre rôle important de Paris College of Art consiste à apporter aux étudiants toute la richesse des enseignements artistiques français. C’est la raison pour laquelle nous enseignons également des formes d’expressions artistiques de tradition française telles que la mode, la haute couture ou la bande dessinée. Celles-ci permettent aux étudiants de faire eux-mêmes l’expérience de ce qu’est véritablement l’Art à Paris. Si Paris College of Art a vu le jour dans une ville comme la capitale française, c’est en particulier à cause de ces deux rôles.
AVM : Quels sont selon vous les avantages de Paris College of Art par rapport aux autres écoles
d’art parisiennes ?
Linda Jarvin : En comparaison des autres écoles, nous avons pour point fort le fait de pouvoir délivrer des diplômes reconnus au niveau national, notamment pour les études supérieures de premier cycle. Les diplômes délivrés par notre école sont identiques à ceux d’une licence et ont obtenu la reconnaissance des universités du monde entier. Certaines écoles d’Art parisiennes délivrent des diplômes qui ne peuvent pas être certifiés par l’Etat. Ces diplômes-là ne sont pas reconnus à l’étranger où seuls sont valables les diplômes de niveau national.
Le fait d’être une école étrangère représente aussi une grande force, l’atmosphère y est plus internationale. Il faut savoir que nous accueillons chaque année des étudiants venus de 48 pays différents. Il s’agit sans doute de l’école recevant le plus grand nombre d’étudiants étrangers de Paris. Au niveau de l’internationalisation de l’environnement d’apprentissage, je pense que nous sommes en avance sur les autres écoles. Et contrairement aux autres, nous proposons également aux étudiants des cours de français et d’anglais.
AVM : Les cours de Paris College of Art ne se situent pas exactement sur le même plan que les autres écoles, pouvez-vous nous en dire plus ?
Linda Jarvin : L’un des grands objectifs de Paris College of Art est d’offrir aux étudiants un enseignement plus diversifié. Nous mettons un point d’honneur à enseigner une grande variété de formes artistiques. Quand la plupart des autres écoles se spécialisent chacune dans une forme d’expression artistique, nous choisissons d’enseigner à la fois les arts plastiques, la mode, la photographie, le design, etc. Nos étudiants, ayant accès à un plus large panel d’enseignement, ont un choix de carrière plus important.
AVM : En dehors des disciplines artistiques françaises, quelles sont les autres formes d’art abordées dans vos cursus ?
Linda Jarvin : Lors des cours d’Histoire de l’Art, les courants artistiques du monde entier sont abordés : arts africains, européens, asiatiques, américains…
d’art parisiennes ?
Linda Jarvin : En comparaison des autres écoles, nous avons pour point fort le fait de pouvoir délivrer des diplômes reconnus au niveau national, notamment pour les études supérieures de premier cycle. Les diplômes délivrés par notre école sont identiques à ceux d’une licence et ont obtenu la reconnaissance des universités du monde entier. Certaines écoles d’Art parisiennes délivrent des diplômes qui ne peuvent pas être certifiés par l’Etat. Ces diplômes-là ne sont pas reconnus à l’étranger où seuls sont valables les diplômes de niveau national.
Le fait d’être une école étrangère représente aussi une grande force, l’atmosphère y est plus internationale. Il faut savoir que nous accueillons chaque année des étudiants venus de 48 pays différents. Il s’agit sans doute de l’école recevant le plus grand nombre d’étudiants étrangers de Paris. Au niveau de l’internationalisation de l’environnement d’apprentissage, je pense que nous sommes en avance sur les autres écoles. Et contrairement aux autres, nous proposons également aux étudiants des cours de français et d’anglais.
AVM : Les cours de Paris College of Art ne se situent pas exactement sur le même plan que les autres écoles, pouvez-vous nous en dire plus ?
Linda Jarvin : L’un des grands objectifs de Paris College of Art est d’offrir aux étudiants un enseignement plus diversifié. Nous mettons un point d’honneur à enseigner une grande variété de formes artistiques. Quand la plupart des autres écoles se spécialisent chacune dans une forme d’expression artistique, nous choisissons d’enseigner à la fois les arts plastiques, la mode, la photographie, le design, etc. Nos étudiants, ayant accès à un plus large panel d’enseignement, ont un choix de carrière plus important.
AVM : En dehors des disciplines artistiques françaises, quelles sont les autres formes d’art abordées dans vos cursus ?
Linda Jarvin : Lors des cours d’Histoire de l’Art, les courants artistiques du monde entier sont abordés : arts africains, européens, asiatiques, américains…
AVM : Selon vous, est-ce qu’il est préférable que les étudiants qui débutent commencent par des cours plus généraux ?
Linda Jar vin : Cette question dépend des capacités et des choix de chacun. Mais il est vrai que nos cursus de second cycle (niveau master) s’adressent plutôt à des étudiants expérimentés, déjà experts dans leur domaine. Il peut s’agir par exemple de personne ayant déjà de l’expérience dans le monde du travail mais qui souhaiteraient approfondir leurs compétences. L’un de nos cursus s’adresse d’ailleurs directement aux professionnels de la mode à qui l’on présente les nouveaux matériaux et les dernières techniques. Si un fashion designer souhaite, après des années de travail, suivre un cursus d’un an pour apprendre à connaître et à manipuler les matériaux récents, la formation de Paris College of Art lui conviendra parfaitement.
AVM : Comment se présentent les cours pratiques de votre établissement ?
Linda Jarvin : Lors des cours pratiques, les étudiants sont toujours appelés à mettre la main à la pâte, ils doivent souvent présenter le résultat d’un travail entièrement manuel. En parallèle, nous mettons en place un grand nombre de partenariats pour que les étudiants puissent proposer leurs projets aux entreprises. Nos étudiants ont par exemple collaboré avec un créateur de parfum pour élaborer un tout nouveau type de parfum.
AVM : Ce type de collaboration est-il mis en place dans le cadre de stages ?
Linda Jarvin : Non, ces collaborations entrent dans le cadre de nos enseignements. Pour ce qui est des stages, nous avons mis des professeurs à la disposition des étudiant pour les guider vers des stages pratiques. Les partenariats mis en place avec les entreprises sont là pour apporter aux étudiants un certain niveau d’expertise. Ils apprennent à s’adapter à la demande du client pour répondre au mieux à un projet à exécuter dans un temps imparti. Pour redonner un exemple, nous avons également collaboré avec une entreprise chinoise de création de tapis ayant des bureaux à Paris.
AVM : Pourriez-vous nous parler un peu de l’avenir et de l’évolution des étudiants après leur formation à Paris College of Art ?
Linda Jarvin : Tout dépend, c’est selon les différents cursus. En Histoire de l’Art par exemple, les étudiants choisissent souvent de continuer leurs études après l’obtention de leur licence. A l’inverse, les étudiants en design numérique choisissent plutôt d’entrer directement dans le monde du travail en devenant dessinateur technique, designer, etc. Mais ce ne sont pas les seuls, bien souvent les étudiants en fashion design ou en photographie choisissent eux aussi de travailler.
AVM : Paris College of Art propose aussi des rencontres d’été et d’hiver, de quoi s’agit-il ?
Linda Jarvin : Les rencontres d’hiver s’adressent aux jeunes étudiants, elles sont mises en place à leur arrivée pour que ceux-ci puissent avoir un premier aperçu du monde de l’art parisien. Pour beaucoup sortis du lycée, les étudiants découvrent ici les formes d’art les plus en vogue à Paris (design, ar ts plastiques, photographie, mode, etc.). A par tir de là, chacun est en mesure de choisir la pratique qui lui convient le mieux. C’est le premier pas de la longue route qui les attend ensuite et une excellente occasion d’explorer à la fois le monde de l’art et la ville de Paris. Les rencontres d’été sont ouvertes à tous, elles offrent aux étudiants encore à la recherche de leur orientation un aperçu de l’avenir qui s’offre à chacun selon les pratiques.
AVM : Paris College of Art accueille chaque année un certain nombre d’étudiants chinois, quels sont les conseils que vous pourriez donner aux étudiants chinois souhaitant étudier à Paris ?
Linda Jarvin : Les étudiants étrangers inscrits dans nos cursus sont nombreux, ils viennent du monde entier. Paris College of Art leur offre une atmosphère internationale propice aux échanges culturels et à l’apprentissage. Pour les étudiants chinois, c’est là une occasion unique d’aller à la rencontre des cultures du monde entier. Par l’échange et l’ouverture aux autres, l’étudiant s’ouvre à de nouveaux horizons, développe sa vision d’artiste et étend le champ de ses connaissances. Les étudiants chinois sont souvent en avance sur les autres pays pour ce qui est des techniques et des connaissances théoriques mais communiquer avec les autres s’avère parfois difficile. Pour remédier à cela, travailler et échanger avec des camarades originaires de pays différents me semble la meilleure solution.
AVM : Quels sont les objectifs de Paris College of Art en ce début de semestre ?
Linda Jarvin : En septembre dernier, nous avons ouvert un tout nouveau cursus d’étude supérieure de deuxième cycle (niveau Master). D’autres suivront l’an prochain avec des spécialités telles que le fashion design, les nouveaux médias ou la photographie, permettant aux professionnels du monde de l’art d’accéder aux études supérieures. Ce sera une étape importante pour Paris College of Art, elle permettra à chacun d’approfondir ses connaissances et d’accéder sur le plan professionnel à de toutes nouvelles opportunités.
Linda Jar vin : Cette question dépend des capacités et des choix de chacun. Mais il est vrai que nos cursus de second cycle (niveau master) s’adressent plutôt à des étudiants expérimentés, déjà experts dans leur domaine. Il peut s’agir par exemple de personne ayant déjà de l’expérience dans le monde du travail mais qui souhaiteraient approfondir leurs compétences. L’un de nos cursus s’adresse d’ailleurs directement aux professionnels de la mode à qui l’on présente les nouveaux matériaux et les dernières techniques. Si un fashion designer souhaite, après des années de travail, suivre un cursus d’un an pour apprendre à connaître et à manipuler les matériaux récents, la formation de Paris College of Art lui conviendra parfaitement.
AVM : Comment se présentent les cours pratiques de votre établissement ?
Linda Jarvin : Lors des cours pratiques, les étudiants sont toujours appelés à mettre la main à la pâte, ils doivent souvent présenter le résultat d’un travail entièrement manuel. En parallèle, nous mettons en place un grand nombre de partenariats pour que les étudiants puissent proposer leurs projets aux entreprises. Nos étudiants ont par exemple collaboré avec un créateur de parfum pour élaborer un tout nouveau type de parfum.
AVM : Ce type de collaboration est-il mis en place dans le cadre de stages ?
Linda Jarvin : Non, ces collaborations entrent dans le cadre de nos enseignements. Pour ce qui est des stages, nous avons mis des professeurs à la disposition des étudiant pour les guider vers des stages pratiques. Les partenariats mis en place avec les entreprises sont là pour apporter aux étudiants un certain niveau d’expertise. Ils apprennent à s’adapter à la demande du client pour répondre au mieux à un projet à exécuter dans un temps imparti. Pour redonner un exemple, nous avons également collaboré avec une entreprise chinoise de création de tapis ayant des bureaux à Paris.
AVM : Pourriez-vous nous parler un peu de l’avenir et de l’évolution des étudiants après leur formation à Paris College of Art ?
Linda Jarvin : Tout dépend, c’est selon les différents cursus. En Histoire de l’Art par exemple, les étudiants choisissent souvent de continuer leurs études après l’obtention de leur licence. A l’inverse, les étudiants en design numérique choisissent plutôt d’entrer directement dans le monde du travail en devenant dessinateur technique, designer, etc. Mais ce ne sont pas les seuls, bien souvent les étudiants en fashion design ou en photographie choisissent eux aussi de travailler.
AVM : Paris College of Art propose aussi des rencontres d’été et d’hiver, de quoi s’agit-il ?
Linda Jarvin : Les rencontres d’hiver s’adressent aux jeunes étudiants, elles sont mises en place à leur arrivée pour que ceux-ci puissent avoir un premier aperçu du monde de l’art parisien. Pour beaucoup sortis du lycée, les étudiants découvrent ici les formes d’art les plus en vogue à Paris (design, ar ts plastiques, photographie, mode, etc.). A par tir de là, chacun est en mesure de choisir la pratique qui lui convient le mieux. C’est le premier pas de la longue route qui les attend ensuite et une excellente occasion d’explorer à la fois le monde de l’art et la ville de Paris. Les rencontres d’été sont ouvertes à tous, elles offrent aux étudiants encore à la recherche de leur orientation un aperçu de l’avenir qui s’offre à chacun selon les pratiques.
AVM : Paris College of Art accueille chaque année un certain nombre d’étudiants chinois, quels sont les conseils que vous pourriez donner aux étudiants chinois souhaitant étudier à Paris ?
Linda Jarvin : Les étudiants étrangers inscrits dans nos cursus sont nombreux, ils viennent du monde entier. Paris College of Art leur offre une atmosphère internationale propice aux échanges culturels et à l’apprentissage. Pour les étudiants chinois, c’est là une occasion unique d’aller à la rencontre des cultures du monde entier. Par l’échange et l’ouverture aux autres, l’étudiant s’ouvre à de nouveaux horizons, développe sa vision d’artiste et étend le champ de ses connaissances. Les étudiants chinois sont souvent en avance sur les autres pays pour ce qui est des techniques et des connaissances théoriques mais communiquer avec les autres s’avère parfois difficile. Pour remédier à cela, travailler et échanger avec des camarades originaires de pays différents me semble la meilleure solution.
AVM : Quels sont les objectifs de Paris College of Art en ce début de semestre ?
Linda Jarvin : En septembre dernier, nous avons ouvert un tout nouveau cursus d’étude supérieure de deuxième cycle (niveau Master). D’autres suivront l’an prochain avec des spécialités telles que le fashion design, les nouveaux médias ou la photographie, permettant aux professionnels du monde de l’art d’accéder aux études supérieures. Ce sera une étape importante pour Paris College of Art, elle permettra à chacun d’approfondir ses connaissances et d’accéder sur le plan professionnel à de toutes nouvelles opportunités.