Dans Le Jour et la Nuit, l’artiste Georges Braque écrit « rechercher le commun qui n’est pas le semblable ». Cette réflexion est la base d’un projet imaginé par ACTISCE et le Patronage Laïque - Jules Vallès : permettre à cinq jeunes artistes parisiens de découvrir la capitale chinoise, ville-monde à cent vitesses.
LES ARTISTES
Audrey Rieu
Diplômée de l’ École Boulle en Tapisserie d’ameublement, Audrey Rieu dépoussière le métier de tapissier en proposant des créations originales. Passionnée et touche à tout, elle souhaite montrer l’au-delà du metier d’Artisan, qui ne se résume pas à un simple travail d’exécution. Pour cette exposition, elle a souhaité collaborer avec Matéo Frigola, photographe, afin de mettre en avant ce qui l’a le plus marqué : les contrastes entre les vies quotidiennes parisienne et pékinoise, ainsi que leurs paysages urbains respectifs.
Léa Méresse
A la suite d’un Master en Organisation de projets culturels, Léa Méresse intègre l’Académie de l’Opéra national de Paris en tant que chargée de mission. Créative et passionnée depuis toujours par l’aquarelle, elle s’initie depuis son voyage en Chine à de nouvelles techniques, comme le tampon, le crayon de couleur et l’encre. Elle souhaite, à travers cette exposition, mettre en avant la solitude que peut ressentir la femme dans un contexte pékinois écrasant. En utilisant des symboles traditionnels chinois comme la grenade, les idéogrammes ou encore l’encre de Chine, elle montre la difficulté d’être soi, face au regard des autres.
Baptiste Sanchez
Diplômé du Conservatoire libre du cinéma français, Baptiste Sanchez partage son temps entre la post-production et différents courts-métrages et projets personnels. Scénariste, réalisateur et monteur, il a embarqué tant bien que mal sa caméra à l’autre bout du monde, capturant les explorations, les ambiances, les situations, les errances. Le résultat se veut le témoin de ce voyage, au plus proche de ce qu’il y a rencontré. De nombreuses images et discussions sont encore à ajouter à ses carnets de voyage et son documentaire, Chinoiseries , dont une nouvelle version plus riche est encore en production.
Léo Derivot
Jeune photographe diplômé d’une licence d’Arts Plastiques à Paris 1 Panthéon-Sorbonne spécialisé en photographie, Léo Derivot suit actuellement une formation en « Photographie documentaire et écritures numériques » à Carcassonne. En portant un regard humaniste et social sur le monde, il tente de montrer ce qui l’interpelle dans la société contemporaine afin de questionner le spectateur sur le rôle qu’il joue dans l’évolution sociale. Léo Derivot travaille sur le rapport qu’entretient l’Homme avec son environnement et les différentes rencontres humaines et plastiques qu’il y fait.
Matéo Frigola
C’est son grand-père qui offre à Matéo Frigola son premier appareil photo : il a 11 ans, et c’est à Pékin qu’il réalise ses premiers clichés. En 2008, il entre à l’atelier de photo argentique de Dan Aucante, et expose ses oeuvres en noir et blanc. Par la suite, il intègre Brassaï, le lycée de la photographie de Paris, dont il sort diplômé en 2016. Il décide alors de se perfectionner dans le cadre d’un Diplôme d’Etude Collégiale de Photographie au Québec. Pour cette exposition, il souhaite montrer le contraste architectural des paysages urbains de Paris et Pékin. Il collabore également avec Audrey Rieu afin d’appréhender la 3ème dimension.
Diplômée de l’ École Boulle en Tapisserie d’ameublement, Audrey Rieu dépoussière le métier de tapissier en proposant des créations originales. Passionnée et touche à tout, elle souhaite montrer l’au-delà du metier d’Artisan, qui ne se résume pas à un simple travail d’exécution. Pour cette exposition, elle a souhaité collaborer avec Matéo Frigola, photographe, afin de mettre en avant ce qui l’a le plus marqué : les contrastes entre les vies quotidiennes parisienne et pékinoise, ainsi que leurs paysages urbains respectifs.
Léa Méresse
A la suite d’un Master en Organisation de projets culturels, Léa Méresse intègre l’Académie de l’Opéra national de Paris en tant que chargée de mission. Créative et passionnée depuis toujours par l’aquarelle, elle s’initie depuis son voyage en Chine à de nouvelles techniques, comme le tampon, le crayon de couleur et l’encre. Elle souhaite, à travers cette exposition, mettre en avant la solitude que peut ressentir la femme dans un contexte pékinois écrasant. En utilisant des symboles traditionnels chinois comme la grenade, les idéogrammes ou encore l’encre de Chine, elle montre la difficulté d’être soi, face au regard des autres.
Baptiste Sanchez
Diplômé du Conservatoire libre du cinéma français, Baptiste Sanchez partage son temps entre la post-production et différents courts-métrages et projets personnels. Scénariste, réalisateur et monteur, il a embarqué tant bien que mal sa caméra à l’autre bout du monde, capturant les explorations, les ambiances, les situations, les errances. Le résultat se veut le témoin de ce voyage, au plus proche de ce qu’il y a rencontré. De nombreuses images et discussions sont encore à ajouter à ses carnets de voyage et son documentaire, Chinoiseries , dont une nouvelle version plus riche est encore en production.
Léo Derivot
Jeune photographe diplômé d’une licence d’Arts Plastiques à Paris 1 Panthéon-Sorbonne spécialisé en photographie, Léo Derivot suit actuellement une formation en « Photographie documentaire et écritures numériques » à Carcassonne. En portant un regard humaniste et social sur le monde, il tente de montrer ce qui l’interpelle dans la société contemporaine afin de questionner le spectateur sur le rôle qu’il joue dans l’évolution sociale. Léo Derivot travaille sur le rapport qu’entretient l’Homme avec son environnement et les différentes rencontres humaines et plastiques qu’il y fait.
Matéo Frigola
C’est son grand-père qui offre à Matéo Frigola son premier appareil photo : il a 11 ans, et c’est à Pékin qu’il réalise ses premiers clichés. En 2008, il entre à l’atelier de photo argentique de Dan Aucante, et expose ses oeuvres en noir et blanc. Par la suite, il intègre Brassaï, le lycée de la photographie de Paris, dont il sort diplômé en 2016. Il décide alors de se perfectionner dans le cadre d’un Diplôme d’Etude Collégiale de Photographie au Québec. Pour cette exposition, il souhaite montrer le contraste architectural des paysages urbains de Paris et Pékin. Il collabore également avec Audrey Rieu afin d’appréhender la 3ème dimension.